Né en 1966 à Thionville de parents algériens (wilaya de Mostaganem). Il s’exprime en peinture de manière autodidacte depuis plus de 30 ans. Par ailleurs, il est fonctionnaire depuis plus de 30ans. Il exerce au sein d’un collège drômois en tant qu’adjoint technique première classe, il est très apprécié des collégiens et garde toujours un contact dynamique avec ceux-ci. Pour en revenir à la peinture, il fut honoré du 2° prix du public au Salon des artistes de Saint-Marcellin en 2000 et du 4° prix de peinture au Salon les Mains d’or de Bourg lès Valence en 1992. Ses premiers tableaux étaient souvent traités de manières inconscientes, ce qui les faisaient s’apparenter au surréalisme avec souvent des personnages romantiques à la Gustave Doré. Il traite des sujets divers ; fond marins et paysage marin, que l’on peut appeler sa période bleue. Il y eut également la période des cubes et des déserts. Récemment ce fut l’Egypte antique qui fut l’objet d’une série d’icônes. Et maintenant, le retour aux sources… l’Algérie ; les lieux de son enfance et de toutes ses espérances tel la willaya de Mostaganem. Là où sont retournés vivre depuis plus de vingt ans, deux êtres tellement importants, ses parents.
Ali, peintre, a reçu le 2ᵉ prix du public au Salon des Artistes de Saint-Marcellin en 2000 et le 4ᵉ prix de peinture au Salon Les Mains d’Or de Bourg-lès-Valence en 1992. Maîtrisant l’huile, l’acrylique, le glacis, l’empattement et la dorure, il crée des œuvres riches en texture et profondeur. Fondateur et ex-président de l’association Trait d’Union, il promeut le dialogue entre les cultures par l’art, convaincu que la création peut rapprocher les peuples !